Intelcom célèbre les femmes gestionnaires de stations à travers le Canada

La Journée internationale des femmes 2024 met de l’avant le thème « Investir en faveur des femmes : Accélérer le rythme ». Cette année, nous sommes ravis de vous présenter une série soulignant le travail novateur de certaines des femmes incroyables qui aident à accélérer les progrès opérationnels de notre organisation. Chez Intelcom, nous sommes fiers d'avoir une équipe diversifiée et inclusive dans chaque facette de nos opérations pour nous pousser vers l'avant.

Dans le premier volet de notre série en deux parties, nous avons le plaisir de parler avec trois incroyables gestionnaires de stations à travers le Canada. Elaine Forbes de notre station de Kamloops, en Colombie-Britannique ; Neha Sharma, de notre station d'Owen Sound, en Ontario ; et Annie Morin, de notre station de Trois-Rivières, au Québec, parlent de leur carrière, de ce qu'elles aiment dans leurs rôles et nous donnent quelques conseils à l’intention des autres femmes dans l’industrie de la logistique.

Décrivez l’évolution de votre carrière jusqu'à votre poste actuel de gestionnaire de station.

NEHA : « Je suis arrivée au Canada en 2018 et j'ai commencé mon cheminement en logistique dans un centre de répartition. J'ai commencé chez Intelcom en janvier 2022 en tant que coordonnatrice Line Haul, et après avoir exprimé mon intérêt pour le travail de gestion, avoir continué à développer mes compétences et grâce à des cours en ligne, j'ai été promue au poste de gestionnaire de station à Owen Sound. J'ai vu tous les cycles d'affaires dans ce nouveau rôle. Maintenant dans ma deuxième année en tant que gestionnaire de station, je suis enthousiaste à l’idée de continuer de mettre en pratique mon expérience et mes compétences pour contribuer à notre succès collectif. »

ELAINE : « Pendant la majeure partie de ma carrière, j'ai travaillé dans le domaine de l'administration dans l'industrie de la logistique. Après avoir pris quelques années de congé pour élever ma famille, je suis retournée au travail, dans une variété de rôles différents, de l'emballage à la paie, au cartonnage au service à la clientèle en opérations, tout cela m'a permis de m'équiper pour mon poste actuel. J'ai commencé chez Intelcom en 2018 en tant que superviseure des opérations et j'ai été promue gestionnaire de station en 2022. »

ANNIE : « Au début de ma carrière, j’ai travaillé pour une entreprise de logistique où j’ai occupé différents postes. J'avais un patron incroyable et je voulais être gestionnaire comme lui. J'ai donc fait quelques mouvements de carrière stratégiques et j'ai obtenu mon diplôme en logistique. Mon travail en tant que gestionnaire dans une autre organisation m’a permis d’accéder à mon poste actuel chez Intelcom. »

Avez-vous rencontré des difficultés en tant que femme en logistique et comment les avez-vous surmontées?

NEHA : « J’ai remarqué que la logistique est très masculine. Lorsque j'étais en formation, la plupart des chauffeurs, des entrepreneurs de livraison indépendants et du personnel étaient des hommes. J'étais l’une des deux femmes. Mon approche face à ces situations a toujours été de rester fidèle à moi-même et de gagner leur respect. Vous devez faire confiance à votre jugement et prendre les bonnes décisions. C'est ce que j'aime ici, au Canada et chez Intelcom, parce que c'est très multiculturel et il y a toujours du respect et de l'égalité. »

ELAINE : « Les principaux défis auxquels j'ai été confrontée étaient les longues heures de travail parfois nécessaires. Il se trouve que ma famille était grandie, donc j’ai pu sacrifier quelques choses en chemin, mais je me souviens que c'était un défi. »

ANNIE : « Je viens d'une famille de femmes fortes. J'avais confiance en moi et je ne doutais jamais de ma capacité en tant que femme à être aussi bonne, voire meilleure, qu'un homme. Il y a quelques années, l'un de mes directeurs dans une autre organisation m'a dit : « Avant que vous n'arriviez, nous ne voulions pas embaucher de femmes parce que le poste était trop difficile » Mais parce que j'étais une personne travaillante, ils ont changé d'avis. Aujourd'hui, cette conversation n'aurait pas lieu, mais ce superviseur m'a dit que j'avais ouvert la porte aux femmes qui travaillaient dans cette succursale. »